Lémofil

Ayant grandi entre les arbres silencieux, Lémofil est parti à Paris pour raconter les légendes de son village.

Sa langue emprunte l’amour des images aux poètes classiques (Baudelaire, Desnos, Césaire) et la rythmique du phrasé aux fines plumes du rap français (Gaël Faye, Diam’s, Disiz).

Les compositions puissantes du pianiste et beatmaker Martin Vigne et le violoncelle habité de Marion Gourvest accompagnent les personnages de ses textes.

Ce savant mélange prend vie sur scène avec une sincérité sans concession. Peu de spectacles remuent autant le ventre que de voir Lémofil, les veines saillantes, la sueur au front et les yeux brillants. 

Il incarne chacun de ses morceaux avec l’intensité d’un Jacques Brel.

Il a déjà foulé les scènes du Zénith de Paris, du Trianon et de Lollapalooza. Son premier show solo aux Étoiles affichait complet deux mois à l’avance. En mai 2025, Le Figaro lui consacre un portrait. À 25 ans, Lémofil s’impose comme une voix grave, nouvelle et urgente, qui bouscule son public par des textes d’une sincérité brute.

​​Son premier album verra le jour au printemps 2026.