Mick Jenkins

Mick Jenkins

Mick Jenkins, rappeur et auteur-compositeur originaire du South Side de Chicago, s’est fait connaître avec des albums conceptuels aux influences jazz, explorant des thèmes profonds comme l’eau utilisée comme arme politique, l’addiction à internet ou la vulnérabilité des femmes dans le rap. À l’image de Marvin Gaye dans les années 1970, ses projets (Pieces of a Man, 2018 ; The Circus, 2020) se présentent comme des discours d’encouragement adressés autant à lui-même qu’à la communauté afro-américaine, mêlant honnêteté et quête de vertu.

Avec The Patience, Jenkins adopte une nouvelle approche : écrire de manière spontanée, sans concept prédéfini, ce qui lui donne une liberté créative inédite. Pour la première fois, il détient 100 % de ses masters et ne dépend plus d’un label, affirmant que ce projet représente le véritable début de sa carrière. L’album explore des idées fortes, comme dans “Michelin Star”, où il compare sa carrière à celle d’un chef en ascension, “Guapanese”, critique des rappeurs superficiels, ou “Sitting Ducks”, empreint de confiance malgré une atmosphère paranoïaque. Sur “Smoke Break Dance” (avec JID), il questionne l’usage du cannabis face aux douleurs générationnelles, et dans “Mop”, il compare l’industrie du rap à une pyramide où seuls les artistes au sommet profitent du système.

Cet album marque pour lui une renaissance artistique : il y exprime l’endurance, la patience et la conviction que ses années d’efforts portent enfin leurs fruits. Jenkins prépare également une tournée mondiale avec un groupe live de sept musiciens, ainsi qu’un livre dans lequel il expliquera le sens des textes de 25 de ses morceaux. Longtemps sous-estimé, il estime que The Patience ouvre une nouvelle phase de sa carrière, plus libre, mature et ambitieuse.

 

Mick Jenkins, rappeur et auteur-compositeur originaire du South Side de Chicago, s’est fait connaître avec des albums conceptuels aux influences jazz, explorant des thèmes profonds comme l’eau utilisée comme arme politique, l’addiction à internet ou la vulnérabilité des femmes dans le rap. À l’image de Marvin Gaye dans les années 1970, ses projets (Pieces of a Man, 2018 ; The Circus, 2020) se présentent comme des discours d’encouragement adressés autant à lui-même qu’à la communauté afro-américaine, mêlant honnêteté et quête de vertu.
Avec The Patience, Jenkins adopte une nouvelle approche : écrire de manière spontanée, sans concept prédéfini, ce qui lui donne une liberté créative inédite. Pour la première fois, il détient 100 % de ses masters et ne dépend plus d’un label, affirmant que ce projet représente le véritable début de sa carrière. L’album explore des idées fortes, comme dans “Michelin Star”, où il compare sa carrière à celle d’un chef en ascension, “Guapanese”, critique des rappeurs superficiels, ou “Sitting Ducks”, empreint de confiance malgré une atmosphère paranoïaque. Sur “Smoke Break Dance” (avec JID), il questionne l’usage du cannabis face aux douleurs générationnelles, et dans “Mop”, il compare l’industrie du rap à une pyramide où seuls les artistes au sommet profitent du système.
Cet album marque pour lui une renaissance artistique : il y exprime l’endurance, la patience et la conviction que ses années d’efforts portent enfin leurs fruits. Jenkins prépare également une tournée mondiale avec un groupe live de sept musiciens, ainsi qu’un livre dans lequel il expliquera le sens des textes de 25 de ses morceaux. Longtemps sous-estimé, il estime que The Patience ouvre une nouvelle phase de sa carrière, plus libre, mature et ambitieuse.

 

Share

Catégorie:Hip Hop And Rap